Un étudiant sur deux n’utilise pas de préservatif à chaque rapport
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Selon l’enquête annuelle de la Smerep, les fausses idées sur le VIH et des comportements à risque persistent. Un étudiant sur deux déclare ainsi ne pas utiliser de préservatif à chaque rapport.
Sommaire
- Le préservatif n’est plus automatique
- Le dépistage n’est pas un réflexe…
- De fausses croyances persistent
Du port du préservatif au dépistage, l’enquête santé conduite par la Smerep révèle des comportements à risques qui persistent, ainsi que de fausses croyances qui peuvent conduire les jeunes à moins se protéger.Le préservatif n’est plus automatiqueSi les lycéens sont 8 sur 10 à déclarer utiliser systématiquement un préservatif lors d’un rapport sexuel, ce chiffre tombe à 1 sur 2 seulement pour les étudiants.Plus troublant, 37% des étudiants déclarent ne pas en mettre lorsque la partenaire prend la pilule, ce qui conduit à penser qu’ils réduisent le préservatif à l’unique rôle de moyen de contraception.Le port du préservatif est pourtant la meilleure façon de se protéger contre les infections sexuellement transmissible (IST) dont le VIH-SIDA.
Le dépistage n’est pas un réflexe…Lorsqu’ils changent de partenaire, 7 étudiants sur 10 reconnaissent ne pas se faire dépister de façon systématique, dont 41% jamais. Pour justifier ce comportement, 58% considèrent ne pas avoir pris de risques suffisants, quand 14% avouent ne pas savoir où se rendre pour pratiquer ce type de test. Enfin, 4% des étudiants ne veulent pas savoir.De fausses croyances persistentLes fausses croyances sur le VIH-sida perdurent :
- 15% des étudiants (et 9% des lycéens) pensent qu’il peut être transmis par une simple piqûre de moustique ;
- 6% en embrassant une personne séropositive ;
- 4% en buvant dans son verre ;
- 1 étudiant et 1 lycéen sur 10 pensent encore que l’on guérit facilement du sida aujourd’hui !
En partie à cause de ces fausses croyances, les étudiants n’ont pas le réflexe de se protéger, ils sont donc moins vigilants à adopter les bons comportements. “Chaque année, nous constatons qu’une méconnaissance du sujet persiste, que de mauvaises habitudes demeurent, et que parfois un manque de vigilance s’installe en matière de protection. Ainsi il nous paraît indispensable d’accentuer les politiques publiques pour continuer d’informer les étudiants et lycéens sur le VIH-SIDA, et de façon globale sur la santé sexuelle. Quant à elle, la SMEREP renforce d’ores et déjà ces actions de prévention sur le terrain“, précise Hadrien Leroux, Président de la SMEREP.Click Here: geelong cats guernsey 2019