Procès d'Ernst August de Hanovre : la condamnation est tombée…
La condamnation pour Ernest August de Hanovre est tombée, ce mercredi 24 mars. Le prince de 67 ans écope d’une peine de 10 mois de prison avec sursis et l’interdiction de vivre dans sa propriété.
Le procès de Ernst August de Hanovre s’est déroulé ce mardi 23 mars, dans l’enceinte du tribunal régional de Wels, en Autriche. La condamnation est tombée. Accusé de coups et blessures sur son personnel et des policiers, l’époux de Caroline de Monaco (le couple est séparé, mais n’a jamais divorcé) est condamné à 10 mois de prison avec sursis, comme le relate le site Gala allemand. Assorti d’une interdiction de résider dans son château de Grünau im Almtal. Ernst August de Hanovre ne doit en effet pas entrer en contact avec le personnel qu’il a attaqué et devra également suivre un sevrage d’alcool et une thérapie psychiatrique.
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En conflit ouvert avec son fils, Ernst August Jr., Ernst August de Hanovre a reconnu les faits et s’en est même excusé lors du procès. “Je prends la responsabilité, je regratte ce qu’il s’est passé et je suis prêt à payer les dégâts”, a-t-il déclaré. Cependant l’homme de 67 ans a plaidé non coupable. Ses avocats ont en effet évoqué un contexte particulier en raison d’une convalescence difficile suite à une chirurgie contre le cancer et le grand désarroi causé par sa relation brisée avec son fils. Les conseils de Ernst August de Hanovre ont avancé que ce dernier s’était “senti abandonné”.
Une situation “impossible”
Atteint d’un cancer et étant de ce fait un patient à haut risque, Ernst August de Hanovre a précisé ne pas souhaiter assister au procès par la suit, ayant peur de contracter le virus dans salle d’audience. Les faits pour lesquels il s’est vu condamner remontent à juillet 2020. Il est accusé d’avoir menacé des policiers et frappé l’un d’entre eux mais aussi d’avoir proféré des menaces à l’encontre de son personnel. Ernst August de Hanovre a été très affecté par cette décision de lui faire quitter sa propriété dans laquelle il vit depuis plus de cinquante ans. Il n’a plus le droit d’y entrer durant trois années. Il a décrit cette situation comme “impossible” et “impensable”.
Crédits photos : Splash News/ABACA