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PHOTOS – Découvrez Kara Young, la maîtresse oubliée de Donald Trump

Ancien top model afro-américain, cette femme prouve qu’en matière de conquêtes, le nouveau président des Etats-Unis, habitué aux blondes et aux beautés slaves, a su varier les plaisirs… Zoom sur celle qui a précédé Melania dans les bras de Donald Trump.

Ses discussions de vestiaire et ses délires isolationnistes ont révulsé l’Amérique progressiste durant la campagne présidentielle. La mise en chantier de son improbable mur entre le Mexique et les Etats-Unis, l’application de son « Muslim Ban », décret interdisant l’entrée du territoire américain aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane, mais aussi la nomination de Neil Gorsuch, conservateur anti-IVG, pro-armes et pro-peine de mort, à la Cour Suprême, inquiètent aujourd’hui le monde entier. Donald Trump, 45eme président américain,narcissique sans filtre, misogyne éhonté et raciste décomplexé ?

L’ex-magnat de l’immobilier et nouveau locataire de la Maison-Blanche aime les femmes, autant que les tours qu’il a fait pousser toujours plus haut dans le ciel de New Tork. Entendez, pourvu qu’elles le rassurent sur sa puissance et sa virilité. Ex-propriétaire du concours Miss Univers, il sait aussi saluer l’exotisme. Sa première épouse, Ivana, ex-championne de ski tchèque, et la dernière en date, Melania, ancien mannequin slovène, sont ses meilleurs alibis. Entre les deux, il y eut Marla Maples, la mère de sa fille Tiffany, jolie blonde originaire du sud-est des Etats-Unis… et choix beaucoup moins convenu, Kara Young, top model afro-américain.

Très discrète ces derniers mois, Kara Young fait figure de maîtresse oubliée. Lorsqu’il la rencontre à l’aube des années 2000, Donald Trump est pourtant un homme à l’égo blessé. Il a 55 ans et vient de divorcer de Marla Maples, surprise sur une plage de Palm Beach, au petit matin, dans les bras de son bodyguard. L’affront est terrible. Responsable de son divorce d’avec Ivana, elle avait convaincu Donald de l’épouser en 1993. Pour mieux le tromper, donc. Playmate pour Playboy, mannequin pour Victoria’s Secret et visage de nombreuses marques de cosmétiques, Kara fait tourner les têtes, au même titre que ses copines de castings et de défilés Christie Brinkley, Elle Macpherson et Veronica Webb. Pour Donald, elle est la « femme trophée » idéale pour dissiper son image de mari cocu.

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Petit problème : Kara Young est déjà engagée dans une relation avec le chroniqueur mondain A.J. Benza, proche de Trump. Rien qui n’effraie ou embarrasse le tycoon. Quitte à créer la confusion dans les esprits, l’homme à la mèche blonde exibe sa nouvelle conquête dans tout Manhattan.

Le triangle amoureux est dévoilé, en mai 2001. Invité du très cash et très trash animateur de radio Howard Stern pour la promotion d’un livre sur les dessous du show-biz, A.J. Benza est sommé de s’expliquer sur son histoire avec Kara. Un appel est pris en direct. C’est Trump au bout du fil. Il est en forme. « Laissez-moi te dire que je n’ai pas eu de mal à attraper ta petite amie. A.J., j’ai piqué ta petite amie. Tu le sais, elle le sait et tout le monde est au courant », fanfaronne-t-il. Benza perd patience, accuse son rival d’avoir harcelé sa petite amie avec des coupures de presse à sa gloire de milliardaire. Il menace même de lui fracasser la tête à coups de batte de base-ball. Contactée par Howard Stern, toujours en direct, Kara Young calme le jeu, en assurant que tout ceci n’est que de l’histoire ancienne. Compétiteur acharné, Donald Trump parvient quand même à lui faire avouer qu’elle était bien en couple avec Benza, lorsqu’elle a fini par céder à ses avances. Grand moment de classe…

Aujourd’hui mariée à un autre milliardaire, Peter Georgiopoulos, Kara Young a pris soin de ne pas remuer la tourbe, ces derniers mois. Certains assurent pourtant que Trump aurait lui-même mis fin à leur liaison, sous prétexte que Young n’était pas assez « mainstream » pour l’accompagner dans ses ambition politiques. Sur son compte Instagram, dans un message relativement cryptique, elle a salué Barack Obama, début janvier. « De par votre calme, votre grâce et votre dignité, vous avez changé le monde. L’élégance, c’est d’espérer le meilleur et de se préparer au pire. Je t’accueille sans rancune et avec amitié DJT (initiales de Donald John Trump, ndlr). Quiconque soit-il, je respecte toujours le commandant en chef », a-t-elle posté. Sans blague…

#farewellObama What an experience with your calm, grace and dignity you did in fact change the world. Elegant always Hope for the best and prepare for the worst. Wellwellwell #mymichelle.

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Crédits photos Getty

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