Avec le livre de Nabilla, rien ne va
Deux versions s’opposent: Toutelatele.com d’un côté, Le Figaro de l’autre. Flop pour les uns, réussite pour les autres, encore une fois, Nabilla ne fait pas l’unanimité. Son livre, Allô! Non mais allô quoi!, s’est-il bien vendu? Combien d’exemplaires ont déjà été écoulés? Les réponses à vos questions.
Tout commence le 11 juillet dernier lorsque le premier livre de Nabilla, Allô! Non mais allô quoi!, sort en librairie, édité aux Editions Privé (Michel Lafon), celle des ouvrages VDM (Vie de merde). Ce jour-là, le «bébé» de Nabilla se hisse à la 7ème position des «Meilleures ventes» de livres sur le site Fnac.com.
En toute logique, ces premiers résultats font espérer de belles ventes à la bimbo. Mais le site toutelatele.com rappelle que deux semaines après sa sortie «l’ouvrage s’apprête à quitter le top 100 de ce palmarès et n’apparait pas dans les 500 meilleures ventes du site Amazon».
Selon ce même site, ce recueil de phrases «cultes», a fait un flop, avec seulement 1.161 acquéreurs. «Des chiffres de ventes calculés en sortie de caisse, annoncés -et fournis par EdiStat- pour le livre Allô! Non mais allô quoi! depuis sa mise en vente le 11 juillet 2013 et ce jusqu’au 21 juillet 2013 inclus», re-confirme toutelatele.com le 26 juillet, après la publication d’un premier papier la veille.
Le site de décryptage de l’information TV persiste et signe alors que Le Figaro contredit ses chiffres et en avance d’autres, plus favorables à Nabilla. Le quotidien national a contacté la maison d’édition de la starlette de la télé-réalité qui annonce des ventes à hauteur de 35.000 exemplaires.
«Nous n’étions même pas au courant que cette fausse information circulait. Tout ce que ce que nous pouvons vous dire, c’est que les ventes s’élèvent aujourd’hui à 35.000 exemplaires, pour un tirage à 40.000», explique une responsable commerciale des Éditions Privé (Michel Lafon).
Le Figaro, le classement Livres Hebdo à l’appui, rappelle que le livre de Nabilla «occupe actuellement la 18e place, devant des titres comme l’opuscule de Stéphane Hessel Indignez-vous!», et juge que «les messages relayés par Nabilla sur son compte Twitter, qui évoquaient une rupture de stock, étaient bel et bien proches de la vérité».
Qui a tort? Qui a raison? Le chiffre évoqué par la maison d’édition, 35.000 exemplaires vendus, pourrait correspondre aux chiffres de la diffusion, soit le nombre d’ouvrages mis en rayon, et non pas vendus. Il va donc falloir attendre plusieurs mois avant de connaître le nombre de retours enregistrés par la maison d’édition, et ainsi le «vrai» nombre de ventes.
Quoiqu’il en soit, la carrière littéraire de Nabilla Benattia n’est pas nécessairement enterrée. Il se murmure que de nombreuses maisons d’éditions seraient prêtes à offrir une belle somme pour publier l’autobiographie de la brune sexy.
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